Dans le Vieux Shawbridge
Croissant Strong : D’après Ira Strong, dont le garage était situé à côté de l’édifice Bell, sur la rue Principale. Sa maison a ensuite été transformée en restaurant.
Rue Beaulieu : D’abord nommée côte à Beaulieu, puis côte du Moulin, parce qu’un moulin à scie y avait succédé à une usine à briques (rouges). On y a aménagé une pente de ski avant que le secteur ne soit développé par Jean-Guy Renaud, fils d’Henri Renaud.
Rue Duval : D’après Lucien Duval (fils d’Albert Duval qui a été maire de Shawbridge de 1947 à 1969 ), qui a ouvert la rue.
Rue Filiatrault : D’après la famille Filiatrault, qui gérait un magasin général devenu le Marché Dagenais (puis Axep et BoniChoix), avant de fermer en 2015. Yvon Filiatrault avait sa maison au coin de cette rue.
Rue Gohier : D’après de Rosario Gohier, briqueteur-maçon.
Rue Guénette : D’après Josaphat Guénette (et son frère Hervé), ancien propriétaire de la terre
Rue Leduc : Un nommé Leduc a été le premier à avoir un chalet sur cette rue.
Rue Levasseur : D’après le nom d’un bijoutier de Montréal, qui y habitait une maison en bois rond et voyageait en autobus.
Rue Millette : D’après la famille Millette. Napoléon Millette a été le principal chauffeur de taxi de Prévost dans les années 1950.
Rue Paquin : D’après Bernard Paquin (fils d’Oscar), qui habitait au coin de cette rue et livrait le pain. Ce menuisier a ensuite travaillé comme péager pour l’autoroute des Laurentides.
Rue Shaw : D’après la famille Shaw. Le cultivateur et marchand William Shaw, installé dans le secteur vers 1831, a été une figure importante pour le village.
Dans le Vieux Lesage
Rue Brunette : D’après Marcel Brunette, bedeau de l’église Saint-François-Xavier, qui habitait sur cette rue.
Rue Hotte : D’après la famille Hotte. Certains membres (Adélard et ses fils Claude et Jacques) se sont impliqués dans la vie politique municipale.
Rue Landry : D’après la famille Landry, dont Roger, qui a été conseiller municipal de Lesage de 1971 à 1973, puis maire de Prévost de 1992 à 1996.
Rue Paquette : D’après la famille Paquette, impliquée dans la communauté. Raymond Paquette offrait des services de taxi dans la région.
Rue St-Onge : D’après la famille St-Onge.
Dans le Vieux Prévost
Chemin du Lac-Blondin : D’après le lac artificiel créé par la famille Blondin sur leurs terres.
Chemin du Manse-Boisé : Rue développée par Roger Morin, nommée ensuite d’après un édifice appelé Manse-Boisé, démoli en novembre 1972. Une partie du lot est vendue à René Gariépy, en 1977, puis l’ensemble est passé aux mains d’une compagnie à numéro, en 1989.
Montée Sainte-Thérèse : Ce chemin porte d’abord le nom de côte Boucane ou à Boucane. La tradition orale explique ce nom selon deux théories. Un certain Walter Buchanan y aurait eu une terre dès 1820. La prononciation en français a transformé le nom anglophone de ce colon par « boucane ». Selon une autre source, c’est la fumée des cheminées qui monte au ciel en hiver qui lui vaut cette dénomination. Plus tard, cette route a aussi pris le nom de montée Blondin en l’honneur de cette famille qui y possédait des terres. L’origine de l’appellation « montée Sainte-Thérèse » reste encore inconnue.
Rue Beaulne : D’après la famille Beaulne. Cette rue, qui se prolongeait jusqu’à Shawbridge, a été coupée par la route 117 lors de sa construction.
Rue Bellevue : Anciennement rue de la Montagne, elle aurait été renommée d’après les caractéristiques physiques du lieu.
Rue Blondin : D’après la famille Blondin qui était propriétaire des terres.
Rue Brunelle : Probablement d’après Louis Brunelle, conseiller municipal de 1962 à 1966 et décédé en 1980.
Rue Chalifoux : D’après E. Fernando Chalifoux, électricien qui a été secrétaire-trésorier de Prévost, en remplacement d’Émilien Morin, d’environ 1933 jusqu’en 1961.
Rue Chapleau : D’après Gustave Chapleau, frère de Marguerite (épouse de Victor Morin), père de Gustave fils et grand-père d’Alexis (conseiller municipal, de 1947 à 1962).
Rue du Versant-du-Ruisseau : D’après une configuration du terrain, où un ruisseau, actuellement entuyauté sous l’autoroute, servait à alimenter l’ancien lac artificiel Cyr.
Rue Godfroy : D’après Godfroy Blondin, qui y avait sa ferme. Il est conseiller municipal du village de Prévost de 1941 à 1942, de 1952 à 1959, puis de 1964 à 1965.
Rue Haché : D’après Onésime Haché, propriétaire du terrain sur lequel la rue est ouverte en 1968.
Rue Laverdure : Située sur la ferme des Pagé, la rue Laverdure relie les rues Pagé et du Verger. Désirant privilégier l'apport champêtre du domaine, son nom lui vient de sa vue panoramique sur les montagnes.
Rue Louis-Morin : D’après Louis-Médéric Morin, un des premiers, avec son fils Hormisdas, à développer un noyau villageois du côté ouest de la rivière du Nord.
Rue Morin : D’après la famille Morin, très impliquée dans le secteur du Vieux-Prévost. La rue suit l’ancien tracé de la route 11 (route nationale).
Rue Morris : Trois Morris sont mentionnés aux registres municipaux : un propriétaire nommé Isaac Morris (1942 et 1948); un prénommé Altmer (1960); et Ben (1964). Sur cette rue, on y trouvait quelques maisons d’été que des gens de religion juive habitaient.
Rue Ovila-Filion : D’après Ovila Filion, propriétaire du terrain où passe la rue et maire du village de Prévost de 1933 à 1947.
Rue Pagé : D’après Wilbrod Pagé, conseiller municipal de 1946 à 1961.
Rue Prévost : Verbalisée en mémoire de l’ancienne municipalité, ainsi nommée par Louis-Médéric Morin.
Rue Therrien : Probablement d’après une famille Therrien, venue de Saint-Jérôme. Trois chalets y ont été construits et logent des vacanciers juifs durant l’été. Le secteur de cette rue et de la rue Morris rejoignait la rue Louis-Morin avant que le tracé de l’autoroute ne les sépare.
Rue Victor : D’après Victor Morin. La rue suit l’ancien tracé de la route 11 (route nationale).